Fiche d’identité :
- Auteur : Didier Daeninckx
- Edition : Magnard
- Nombre de pages : 140
Résumé :
Gocéné, le vieux Kanak, a vu beaucoup de choses. Mais il y en a une, plus surprenante que les autres, dont le souvenir le ramène à Paris, en 1931, l'année où les siens furent échangés contre des animaux. On était à la veille de l'inauguration de l'Exposition coloniale et tous les crocodiles du marigot venaient de mourir... Que faire? Pourquoi ne pas troquer des "cannibales" fraîchement arrivés de Nouvelle-Calédonie contre des reptiles croupissant au fond d'un cirque allemand ?
Mon avis :
Avant de commencer cette critique, j’aimerais vous dire que je ne prends aucunement position sur la couleur de peau des gens et si j’utilise les termes « homme blanc » ou « homme noir » ce sera pour plus de compréhension.
C’est un livre que j’ai lu au collège. J’ai été assez surprise de cette lecture que j’ai trouvé très intéressante car on parle rarement de ce sujet qui est l’Exposition Coloniale de 1931 à Paris.
Mais j’aimerais commencer cette critique avec la première de couverture qui m’a passablement surprise. Ce n’est pas tout le temps que l’on voit deux hommes de couleur noire habillés de façon grotesque avec des bijoux traditionnels partout sur le corps et entourés d’hommes et des femmes blanches.
Même si le récit est court et simple à comprendre, l’histoire n’est pas non plus très approfondie car à mon avis l’auteur voulait surtout montrer la mentalité des français et se servait de l’histoire comme support en arrière plan.
Ce livre a aussi été une lecture intéressante car on voit l’histoire sous un autre œil et cela nous permet d’enlever les préjugés que beaucoup de personnes ont sur les hommes de couleur noire.
J’ai pu même à des moments constater que c’était les Kanaks qui étaient plus civilisés que les hommes blancs.
On se dit aussi que ce n’est pas possible de traiter des humains comme ci ce n’était rien que des animaux ou des moins que rien et on se sent un peu gêné. Mais quand on regarde ce qui s’est passé lors de la Seconde Guerre Mondiale, en particulier avec les juifs, on peut se dire que tout est possible dans ce monde où normalement l’humanité est de rigueur et où la sauvagerie est bannie.
Ce livre reste tout de même un classique et le vocabulaire est un peu (pas beaucoup mais quand même) difficile pour ceux qui commencent les classiques.
En conclusion je dirais que cette histoire, assez simple dans l’ensemble, nous fait réfléchir sur des sujets comme la xénophobie ou les préjugés.
Ma note : 8/10
- Auteur : Didier Daeninckx
- Edition : Magnard
- Nombre de pages : 140
Résumé :
Gocéné, le vieux Kanak, a vu beaucoup de choses. Mais il y en a une, plus surprenante que les autres, dont le souvenir le ramène à Paris, en 1931, l'année où les siens furent échangés contre des animaux. On était à la veille de l'inauguration de l'Exposition coloniale et tous les crocodiles du marigot venaient de mourir... Que faire? Pourquoi ne pas troquer des "cannibales" fraîchement arrivés de Nouvelle-Calédonie contre des reptiles croupissant au fond d'un cirque allemand ?
Mon avis :
Avant de commencer cette critique, j’aimerais vous dire que je ne prends aucunement position sur la couleur de peau des gens et si j’utilise les termes « homme blanc » ou « homme noir » ce sera pour plus de compréhension.
C’est un livre que j’ai lu au collège. J’ai été assez surprise de cette lecture que j’ai trouvé très intéressante car on parle rarement de ce sujet qui est l’Exposition Coloniale de 1931 à Paris.
Mais j’aimerais commencer cette critique avec la première de couverture qui m’a passablement surprise. Ce n’est pas tout le temps que l’on voit deux hommes de couleur noire habillés de façon grotesque avec des bijoux traditionnels partout sur le corps et entourés d’hommes et des femmes blanches.
Même si le récit est court et simple à comprendre, l’histoire n’est pas non plus très approfondie car à mon avis l’auteur voulait surtout montrer la mentalité des français et se servait de l’histoire comme support en arrière plan.
Ce livre a aussi été une lecture intéressante car on voit l’histoire sous un autre œil et cela nous permet d’enlever les préjugés que beaucoup de personnes ont sur les hommes de couleur noire.
J’ai pu même à des moments constater que c’était les Kanaks qui étaient plus civilisés que les hommes blancs.
On se dit aussi que ce n’est pas possible de traiter des humains comme ci ce n’était rien que des animaux ou des moins que rien et on se sent un peu gêné. Mais quand on regarde ce qui s’est passé lors de la Seconde Guerre Mondiale, en particulier avec les juifs, on peut se dire que tout est possible dans ce monde où normalement l’humanité est de rigueur et où la sauvagerie est bannie.
Ce livre reste tout de même un classique et le vocabulaire est un peu (pas beaucoup mais quand même) difficile pour ceux qui commencent les classiques.
En conclusion je dirais que cette histoire, assez simple dans l’ensemble, nous fait réfléchir sur des sujets comme la xénophobie ou les préjugés.
Ma note : 8/10